« Le solstice d’hiver était pour nous un moment heureux. Anahita vint me prendre chez moi pour aller au restaurant avec des amis afin d’y célébrer Shab-e Yalda. Nos festivals étaient pour nous, Iraniens, un moyen de nous retrouver pour partager des événements culturels qui faisaient notre identité. C’était vital. Je passai une soirée merveilleuse. Maryam était également présente et elle m’a demandé si je m’étais fait avoir par « mon » Français. »
Extrait du roman La Tulipe et le Coquelicot à découvrir ici.